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Mohamed Diawara s’inscrit à la Draft NBA 2025: l’éclosion d’un talent formé en Île-de-France

Après Noah Penda, un autre talent formé au Pôle Espoirs Île-de-France s’apprête à franchir l’Atlantique. Mohamed Diawara, ailier-fort de Cholet Basket, a officiellement déposé son nom pour la Draft NBA 2025, devenant ainsi le deuxième Français à se déclarer cette année. Un nouveau chapitre pour ce joueur de 2,04 m, âgé de 19 ans, qui a su rebondir avec brio après une période plus compliquée du côté du Paris Basketball.

Formé dans l’un des viviers les plus réputés du basket français,Mohamed a connu une trajectoire patiente mais prometteuse. Longtemps resté dans l’ombre au sein du club parisien, où les opportunités se faisaient rares, il a pris son envol en rejoignant Cholet. Sous la houlette de Fabrice Lefrançois, il s’est imposé comme un élément-clé de la rotation, aussi bien en Betclic ELITE qu’en FIBA Europe Cup. Son impact des deux côtés du terrain et sa progression constante ont été salués par de nombreux observateurs.

Une montée en puissance remarquée

Si son nom reste encore discret dans les différentes mocks drafts — souvent projeté en fin de second tour ,Mohamed a une occasion en or de faire grimper sa cote : les playoffs du championnat de France, auxquels Cholet est d’ores et déjà qualifié. Une vitrine parfaite pour exposer son potentiel athlétique, sa polyvalence défensive et son tir extérieur en nette amélioration.

Comparé à Noah Penda, qui bénéficie d’une hype un peu plus marquée outre-Atlantique, Mohamed Diawara arrive en outsider, mais avec des arguments solides : un gabarit NBA-compatible, une éthique de travail reconnue et une capacité à se fondre dans un collectif. Des qualités qui pourraient séduire plusieurs franchises à la recherche d’un « role player » jeune, malléable et prometteur.

Crédit Photo: Cholet Basket

Une nouvelle génération ambitieuse

L’inscription de Diawara à la Draft 2025 confirme une tendance : la nouvelle génération issue des pôles espoirs français est ambitieuse, décomplexée et prête à se confronter au plus haut niveau mondial. À l’image de Victor Wembanyama ou Bilal Coulibaly avant eux, ces jeunes talents voient désormais la NBA comme une suite logique de leur développement, et non comme un rêve inaccessible.

Reste à Mohamed Diawara à marquer les esprits dans les semaines à venir, pour transformer l’essai et convaincre les scouts américains qu’il a toute sa place dans la grande ligue. Le compte à rebours est lancé.

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